La 21ème conférence internationale de Paris a levé de grands espoirs pour confirmer des décisions planétaires à ne pas dépasser et même rester en dessous des + 2° de réchauffement de la planète.

Après l’aventure désastreuse de leur précédent président refusant d’accepter la réalité de la gravité du dérèglement climatique mondial, le nouveau président a fait revenir les U.S.A. dans l’Accord de Paris 

Mais bien avant, un schéma intéressant s’était dessiné dans cette Amérique où le président ne concentre pas tous les pouvoirs. De grandes entreprises, des Etats et des villes ont poursuivi la dure bataille de la transition énergétique, il est vrai, « encouragés par les catastrophiques événements planétaires : pollutions de l’air en Chine, extrêmes sécheresses et accident industriel en Californie, inondations en Sibérie et en Grande-Bretagne, incendies gigantesques au Canada et aux U.S., réduction dangereuse des flux de grands cours d’eau en Russie et Colombie…