Aéroport de Tours, action semaine 50

GPC 37 continue ses actions, pour pousser les territoires à mettre un terme aux subventions publiques à l’aéroport de Tours. En semaine 50 a eu lieu la treizième action auprès des élus, cette fois à Tours Métropole Val-de -Loire.

Ces subventions sont un gâchis d’argent public qui alimente la mini bombe climatique que constitue l’aéroport de Tours. Si ces millions étaient économisés, ils permettraient localement de développer fortement les transports doux.

Les élus ont reçu un nouveau tract, explicitant les textes des hommes-sandwich.

Recto

Contrairement à ce que tentent de nous faire croire les élus pro-subventions à l’aéroport, celles-ci ne sont même pas rentables à court terme. En dehors du fait qu’elles contribuent aussi à dérégler le climat futur, comment comprendre cet attachement indéfectible à l’aéroport ?

Ces élus se réfèrent à un concept dépassé : l’attractivité du territoire. Sans aéroport, ils se sentiraient jouer en deuxième division. Cet égo coûte cher à la population et aux jeunes générations en particulier.

Verso

Trop d’élus évaluent sommairement les conséquences d’un réchauffement climatique de 1,5°C, 2°C, voire 3°C. Les conséquences actuelles ne suffisent pas à leur sortir la tête du sable. Certaines décisions semblent être prises indépendamment de leur impact à long terme, augmentant ainsi les risques encourus par les jeunes. Ces élus sont restés au 20ème siècle. À défaut de les voir évoluer radicalement, il faudra en changer.